Euthanasie ? Non, meurtre, assassinat parce que prémédité. Et en sont responsable les auteurs (et d'abord les auteurs de la loi Leonetti et Leonetti-Claeys) les exécuteurs, les instigateurs... Et TOUS CEUX QUI L’ONT LAISSÉ faire !
Devant le crime, qui se tait est complice.
Et chacun, selon le pouvoir que Dieu lui a donné, devait, DOIT agir, même quand on est à la dernière heure.
Je ne veux pas que l'Eglise de France, le peuple de France, la France soit responsable, ou considérée comme telle, d'un crime collectif qui initie un nouveau genre de crime contre l'humanité : le racisme anti-faibles !
Oui, c 'est un crime. Ce n'est même pas une euthanasie - qui serait encore légalement interdite en France.
Vincent Lambert, selon l'expertise demandée par le tribunal lui-même (mais dont ensuite il n'a tenu aucun compte !),
- • n'est pas en fin de vie,
• ne souffre pas,
• est une personne lourdement handicapée
• n'est pas objet d'acharnement thérapeutique,
• est apte à être transféré.
Au mépris de tous ces avis : on le tue. C'est clair. Il ne s'agit plus d'un acte médical mais d’un meurtre prémédité accompli par un médecin parjure de son serment, et par des hommes de loi qui jugent sous pression - ce qui n'est plus un acte de jugement.
Mais, de toute façon, c’est selon l'éthique que l'histoire jugera. Tu savais, mais tu as laissé faire !
On t'a appelé à la rescousse. Mais tu t'es tu. Et tu as empêché d'autres de parler.
"J'avais faim... j'avais soif... j'étais en prison... Allez loin de Moi, au feu éternel, maudits"
Qui révèle l'intention meurtrière de la loi Leonetti I et II ?
Le législateur Leonetti lui-même se démasque en déclarant que l'assassinat de Vincent Lambert n'en est pas un, au vu de sa loi.
Le procureur de la Cour de Cassation, François Molins, n'a pas hésité à en faire une idole : « "Reconnaître le droit à la vie comme valeur suprême dans l’échelle des droits de l’homme aurait pour effet de remettre en cause les lois Leonetti ou relatives à l’IVG" (selon le journaliste du Figaro, Stéphane Kovacs). Nous y sommes.
Tuer Vincent Lambert, ce n'est pas arrêter ses traitements. Il n'en avait pas. C'est lui introduire maintenant un "traitement" sédatif pour que mort s’ensuive. Donc le tuer et le tuer dans les affres de ce genre de "traitement".
C'est un acte positif de meurtre.
"L'intention est de soulager et n'est pas de tuer" -nous chantait-on pour essayer de nous faire acquiescer à l’usage souvent superflu de sédatifs... Même si la mort s'ensuit plus vite...
Mais ici, l'intention est de tuer ! C'est explicitement dit.
On met en fin de vie un homme qui n'était pas en fin de vie.
D'ailleurs, parler de fin de vie à propos de la mort, c'est oublier tout aspect spirituel de l'homme. C'est signer qu'on est plus bas que la pire barbarie ! dans celle qui réduit l'homme à un objet sans âme et la vie au travail.
"L'homme est travail" disait Marx.
Voilà que ce monde capitaliste est devenu marxiste en pratique. Cela fait seulement 34 ans que je l'avais écrit.
Eglise de France ! C'est l'heure du courage : sors de ta léthargie et montre-toi digne des martyrs d'Orient.
Prie ! Et parle, agis, résiste !
"Messire Dieu, premier servi" !