Flore, c'est son prénom. Jean-Albert, c'est le prénom de son fils.
Parce que non, la maladie d’Alzheimer n'est pas la fin.
Parce que oui, il est possible à force d'amour et de vie, de goûter ensemble le bonheur.
Et si c'était seulement du bon sens ? Et si, ces malades, c'était vraiment nos trésors ? Et si, vivre auprès d'eux étaient une chance ?
Le bonheur, oui.
Jean-Albert explique comment il a pu, comment nous pouvons, parce qu'à un moment donné, ce choix s'impose, comme le seul digne de l'amour qu'il lui porte.