Communion de prière pour la Vie : "Jésus, Marie, protégez la vie " ! (ou toute autre prière à Dieu)

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A propos de la déclaration de l'Ordre des Médecins

Il s'agit bel et bien d'euthanasie ! Et ce, quelles que soient les "intentions mensongères" pour noyer le poisson.

L'Ordre ne s'y est pas trompé qui exige en la matière que ce soit un collège de médecin qui, "collégialement", prononce la sentence. Cela n'est pas sans rappeler le procès de Jésus : LE SANHEDRIN - et non un homme seul - a demandé sa condamnation. Pilate s'en lave les mains : il n'arrive pas à assumer ce crime tout seul.

Ainsi, chaque médecin de la "commission de condamnation à mort" du malade peut se dire : ce n'est pas moi, c'est nous.... c'est "les autres".

Le crime n'en est pas amoindri, au contraire ! Il faut aller plus loin que les fausses nuances d'intentions ! l'intention, serait-elle même vraie, ce qui n'est pas le cas en l'espèce, n'est pas, à elle seule, garante de l'acte moralement bon.Il faut objectivement respecter le commandement de Dieu : "Tu ne tueras pas". La sédation, déjà trop utilisée (sans réelle nécessité la plupart du temps), ne tend qu'à être "incisif" comme le jargon le veut : couper les liens, couper la conscience. Et ce, à l'inverse de ce que demandent les voix des Papes : "respecter la conscience du mourant" qui doit pouvoir se préparer à l'acte culminant de sa vie : la rencontre définitive avec le Juge de toute sa vie. Qui ose s'arroger le droit de voler la mort à une personne humaine ?

Car on ne fait pas autre chose : la "sédation" n'est rien d'autre qu'une cédation à la pression de la racaille, qui en a assez de payer pour les vieux, les handicapés, les grands malades.

La sédation - dites-vous - maintient les grandes fonctions vitales mais ne fait qu'altérer le fonctionnement du cerveau. Je vous assure que la condamnation à mort et l'exécution par la guillotine étaient de beaucoup plus humaines : le condamné avait le droit de se préparer lucidement, de mettre ses affaires en règle (et non d'être réveillé de sa sédation, plus ou moins profonde, juste pour signer des papiers au gré des héritiers - comme nous avons tous vu faire !), voir le ministre du culte qu'il souhaitait, écrire les lettres d'adieu et mourir dans la dignité.

Cette euthanasie chimique administrée à l'homme est la mort la pire qui existe pour l'homme, c'est celle qu'on administre aux chiens ou aux animaux de compagnie, celle aussi qui est utilisée dans les pays où la condamnation à mort s'exécute par injection létale (ailleurs c'est la chambre à gaz ou la chaise électrique).

En tout état de cause, cette mort-là n'a rien d'une bonne mort, d'une eu-thanasie. Au contraire : elle est des plus violente dans la mesure même de sa dissonance entre le corps et la conscience. Selon l'antique Serment d'Hippocrate, malheureux qui le propose, malheureux qui le met en oeuvre. D’ailleurs, si l'Ordre des Médecins prévoit l'objection de conscience, c'est bien parce qu'il sait que la conscience d'un véritable médecin se révulse à l'idée même de cette barbarie quels que soient les noms savants et mensongers qu'on lui donne pour tenter de la camoufler. Ni l'ordre des médecins ni le Parlement ni personne au monde n'a le droit de changer le commandement de Dieu - ni le sens des mots.

Tu ne tueras pas. Choisis la vie.

Or ce qui est proposé par "la commission médicale" c'est tuer.

Honneur à ceux qui participent à la mobilisation de prière et d'action contrer cette barbarie païenne !