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Appel à la France en faveur des plus fragiles !

par Mariel de Saint-Just, 05/11/2015

Il y a lieu d'intervenir en faveur des Droits de Dieu – et des droits des plus fragiles. Cela va d'ailleurs dans le même sens - si du moins nous cessons l'utilisation d'un novlangue qui appelle le bien mal et le mal bien.

Si, en France le « tu ne tueras pas » n'est pas respecté, c'est un péché contre Dieu et contre l'homme, un mal mortel. Mais si, en plus, on y adjoint la torture et on masque le tout sous les mots SPC du novlangue destiné à berner le citoyen, c'est un crime. Et si ce crime est fait contre des êtres humains sans défense et en raison d'un état dont ils ne sont pas responsables et qu'ils ne peuvent pas changer, c'est un crime contre l'humanité.

Ce que nous attendons tous de la France, c'est qu'elle redise des paroles de Vérité, qu'elle ait les attitudes de vraie Lumière, et non qu'elle se mette à la remorque de politicards de tous bords.

Tous savent que la France représente un poids non seulement symbolique mais encore bien réel dans le monde, même encore aujourd'hui.

Il s'agit maintenant de la Loi sur la fin de vie.Appellation malheureuse et désespérante s'il en est puisque les croyants de toutes religions savent qu'avec la mort « la vie n'est pas détruite, elle est transformée ».

Le meurtre, que projette la loi Claeys-Leonetti, aggravé par la torture (physique : déshydratation ; psychique : sédation profonde continue) pouvant s'autoriser « parfois » même à passer outre des directives anticipées, crie vengeance au Ciel.

Il y a introduction d'un novlangue qui masque la réalité et qui appelle le bien mal et le mal bien (appelle le meurtre crapuleux pour raison économique, c'est « compassion » ; tuer c'est « aider » ; torturer psychiquement par des overdoses de drogues cauchemardesques, c'est « apaiser »; passer outre la volonté du malade, c'est « collégialement accompagner » ; objetisation du malade c'est « droit en faveur du malade » ; obligation de tuer c'est « consensus collégial » ; supplice et meurtre c'est « euthanasie et bonne mort » etc. etc.).

Cela rappelle le jugement de Dieu : « Malheur à celui qui appelle le bien mal et le mal bien ».

Ce novlangue ne sert qu'à endormir nos concitoyens et, de plus, à cacher la réalité de cette mauvaise décision aux acteurs eux-mêmes.

Cette SPC, déjà en elle-même, est un meurtre par overdose.

Mais pourquoi refuser en plus l'hydratation ? Pourquoi ajouter à l'organisme cette torture, même si inexprimable une fois le malade « sédaté » ?

Car, ne nous faisons aucune illusion car Leonetti l'a dit : la sédation est là pour masquer à l'entourage l'horreur que vit le malade et qu'elle l'empêche d'exprimer, donnant cette fausse apparence d'un sommeil paisible.

Et la « décision collégiale », elle aussi a-t-elle d'autre but que d'endormir la conscience personnelle, émousser la relation médecin-malade, et médecin-entourage du malade ?

Pour, aussi, éviter au législateur comme au soignant la vérité de son acte qui n'est autre que le meurtre froidement exécuté pour des motifs égoïstes personnellement et socialement au nom d'un hédonisme dont toute humanité, dans le sens le plus noble du terme, est désespérément et définitivement absente.

Le silence ou une protestation par trop molle des religions devant le crime qui est sur le point de devenir loi décrédibiliserait les croyants qui vivent en France qui, quant à elle, apparaîtrait comme complice de crime contre l'humanité.

Au contraire, qu'elle fasse donc entendre la voix de l'humanité au sens le plus noble du terme : celle qui veut la vie et la mort conforme à la nature de l'homme et au dessein de bonté du Créateur, pour le vrai bien des « sans voix », cela serait un témoignage crédible pour toute la terre.

Digne de la France.

Mariel de Saint-Just