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par Jean-Claude Bésida, 08/01/2014

Lors de la cérémonie des vœux le 7 janvier, François Hollande a annoncé qu’il entendrait les représentants religieux sur la fin de vie « probablement » en février.

 

Pour les traditionnels vœux aux autorités religieuses, François Hollande a rencontré à huis clos, le 7 janvier, les représentants des principales religions de France pendant une heure au palais de l’Élysée.

La situation internationale avec la Centrafrique et la Syrie, mais aussi la nécessité du respect envers les cultes ont été évoquées. Mais la principale annonce du président fut sa proposition de consulter spécifiquement les responsables religieux sur les questions qui font actuellement l’objet de projets de loi : fin de vie et PMA.

Une annonce « plutôt réconfortante », selon Mgr Pontier

Dans la cour de l’Élysée, Mgr Georges Pontier , archevêque de Marseille et président de la Conférence des évêques de France, et Mgr André Vingt-Trois , archevêque de Paris, ont répondu aux questions de  Famille Chrétienne . Sur la consultation des autorités religieuses, le premier a expliqué qu’elle « devrait avoir lieu probablement courant février  ». S’il espère bien évidemment qu’elle soit organisée de manière plus sérieuse que pour le « mariage pour tous », il ajoute : «  Sur le principe, il est plutôt réconfortant de constater que le gouvernement souhaite consulter les autorités religieuses spécifiquement sur la question de la fin de vie, mais aussi sur les autres questions ».

Sur les profanations de ces dernières semaines, Mgr Vingt-Trois qui, quelques jours auparavant, avait appelé à ce que  « des voix se fassent entendre » , a expliqué que « le président a tenu le langage d’un défenseur de la laïcité et de la liberté des religions. Il a donc rappelé que l’État veillait à ce que les religions puissent exercer leur culte de manière sécurisée  ».

Quant à « l’affaire Dieudonné » et aux Femen , l’archevêque de Paris précise : « C’est un avertissement qui nous invite à réfléchir sur la manière dont notre culture a tendance à se laisser entraîner dans la dérision et la provocation comme moyen d’expression. Il y a des choses qui ne se font pas et ne se disent pas. Si on n’a pas de frontière,  il y aura une surenchère   » .

Source : famillechretienne.fr